Le chemin vers le podium est coûteux …

Lotteriegesellschaften leisten wertvolle Unterstützung

Der Weg zum Erfolg ist lang, steinig und hart. Geeignete Infrastrukturen und Trainingsbe­dingungen sowie ein förderndes Umfeld vermögen, natürlich neben Talent und grossem Trainingseinsatz, viel zum sportlichen Erfolg beizutragen. Doch ohne die entsprechende finanzielle Unterstützung ist der Weg an die Spitze praktisch nicht möglich.

Wer in der Schweiz Swiss Lotto, EuroMillions oder Sporttipp spielt, unterstützt damit au­tomatisch auch den Schweizer Sport. Denn die Reingewinne von Swisslos und der Lote­rie Romande fliessen vollumfänglich in gemeinnützige Projekte und Institutionen in den Bereichen Sport, Kultur, Umwelt und Soziales – 630 Millionen Franken im 2019. Ein Teil dieses Reingewinns fliesst an die Sport-Toto-Gesellschaft, die das Geld an den nationalen Sport weiterleitet.

Swiss Olympic profitiert seit vielen Jahren von diesen Lotteriegeldern, welche einen grossen Anteil ihrer verfügbaren Mittel darstellen. 2019 erhielt der Dachverband des Schweizer Sports 46 Mio. Franken, welche direkt an die Mitgliedsverbände fliessen. Eingesetzt werden die Gelder zweckgebunden im Spitzen- und Nachwuchs­sport sowie in der Aus- und Weiterbildung von Sportlern und Trainern. Bis heute flossen so nahezu vier Milliarden Franken in die Förderung des nationalen Sports.

Auch Swiss Wrestling Federation profitiert als Mitgliedsverband von Swiss Olympic von Lotteriegeldern. Sie machen ungefähr 30 Prozent des Gesamt­budgets des Verbands aus. Rudolf Wieland, Chef Marketing von Swiss Wrestling Federation zur Bedeutung dieses Beitrags für die Zukunft: « Ohne diese Gelder müsste die Unterstützung der Athleten stark reduziert oder auf einige Wenige konzentriert werden. Die derzeitige High Performance unter professionellen Bedingungen wäre für das Gros unserer Athleten/Athletinnen nicht mehr möglich. Entsprechend wäre es nur noch in Einzelfällen möglich, mit der Europäischen- oder Weltspitze mitzuhalten. Die Leistungsbreite könnte auf Dauer nicht aufrechterhalten und der Nachwuchs- und Breitensport müsste reduziert werden. »

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Les sociétés de loterie apportent un soutien précieux

Le chemin du succès est long, rocailleux et difficile. Des infrastructures et des conditions d’entraînement appropriées, ainsi qu’un environnement favorable, peuvent bien sûr contribuer dans une large mesure au succès sportif, en plus du talent et d’un grand engagement dans l’entraînement. Mais sans le soutien financier approprié, le chemin vers le sommet est pratiquement impossible.

Toute personne qui joue à Swiss Lotto, EuroMillions ou Sporttipp en Suisse soutient automatiquement le sport suisse. En effet, les gains nets des Swisslos et de la Loterie Romande sont entièrement reversés à des projets et institutions de bienfaisance dans les domaines du sport, de la culture, de l’environnement et des affaires sociales – 630 millions de francs suisses en 2019. Une partie de ces gains nets est reversée à la Sport-Toto-Gesellschaft, qui transmet l’argent au sport national.

Swiss Olympic bénéficie depuis de nombreuses années de ces fonds de loterie, qui représentent une part importante de ses ressources disponibles. En 2019, l’organisation faîtière du sport suisse a reçu 46 millions de francs suisses, qui reviennent directement aux associations membres. L’argent est destiné au sport de haut niveau et au sport junior, ainsi qu’à l’éducation et à la formation des athlètes et des entraîneurs. À ce jour, près de quatre milliards de francs suisses ont été consacrés à la promotion du sport national.

En tant qu’association membre de Swiss Olympic, la Fédération suisse de lutte bénéficie également des fonds de la loterie. Ils représentent environ 30 % du budget total de la fédération. Rudolf Wieland, responsable du marketing de la Fédération suisse de lutte, s’exprime sur l’importance de cette contribution pour l’avenir : « Sans ces fonds, le soutien aux athlètes devrait être fortement réduit ou concentré sur quelques-uns. Les hautes performances actuelles dans des conditions professionnelles ne seraient plus possibles pour la majorité de nos athlètes. Par conséquent, il ne serait possible de suivre l’élite européenne ou mondiale que dans des cas individuels. L’éventail des performances ne pourrait être maintenu à long terme et les sports juniors et populaires devraient être réduits. »