Gemeindepräsident Fischer begeistert von Stifis Olympiateilnahme

SWFE hat ihn zu diesem Ausnahmeathleten befragt. / Le maire de Grosswangen, Beat Fischer, se réjouit de la participation de Stifi aux Jeux olympiques. SWFE l'a interrogé sur cet athlète exceptionnel.

Gemeindepräsident Beat Fischer von Grosswangen ist begeistert von Stifis Olympiateilnahme.

Stefan Reichmuth (Stifi), ein Einwohner von Grosswangen, wird an den Olympischen Spielen in Tokio teilnehmen. Was bedeutet das für Sie als Gemeindepräsident und für das Dorf?
Fischer: Für mich persönlich und sicher auch für alle Grosswangerinnen und Grosswanger ist das natürlich eine riesen Freude! Wir sind stolz und es ist eine Ehre für uns, dass Stifi an den Olympischen Spielen in Japan teilnehmen kann. Wir drücken ihm jetzt schon ganz fest die Daumen!

Sie kennen Stifi und den Ringsport schon länger. Was zeichnet Stifi aus?
Fischer: Obwohl die Ringer-Hochburg Willisau unmittelbar an Grosswangen grenzt, kenne ich den Ringsport nur sehr rudimentär. Stifi hat mit seinen Leistungen und Erfolgen vielen, auch mir persönlich diese Randsportart nähergebracht. Ihn kenne ich schon seit seiner Kindheit, er ist unser «Nachbarsbub».

Als Schulkamerad von meinem Sohn war er öfters bei uns zum Spielen. Stifi ist ausdauernd, zielstrebig und hat ein gesundes Mass an Selbstvertrauen. Er zeichnet sich mit einer aussergewöhnlichen Leistungsbereitschaft aus und ist bereit für seine Ziele sehr hart zu arbeiten, was oft heisst auf viele Annehmlichkeiten zu verzichten und einiges einzustecken zu müssen. Beim Ringen geht es nicht ums grosse Geld – Ringer sind halt «herti Sieche».

Was müsste die Gesellschaft oder eine Gemeinde tun, damit wir in Zukunft noch mehr Stifis zu sehen bekommen?

Fischer: Es müssen sehr viele Voraussetzungen passen. Das persönliche Umfeld ist meiner Meinung nach ausschlaggebend. Der gute Rückhalt und eine grosse Unterstützung seitens der Familie ist entscheidend. Wenn da noch ein gutes Umfeld mit starken Vereinen und guten Sportinfrastrukturen vorhanden ist, wird vieles möglich.
Der Ringsport ist bei uns «noch» eine Randsportart. Modellathleten ohne Allüren, wie Stifi einer ist, bringen diese näher und tragen viel zu einer steigenden Popularität bei.

Freundliche Grüsse aus Grosswangen  & Hopp Stifi – Beat Fischer 

— Traduction rapide en langue française (deepl.com) —

Stefan Reichmuth (Stifi), habitant de Grosswangen, participera aux Jeux olympiques de Tokyo. Qu’est-ce que cela signifie pour vous en tant que maire et pour le village ?
Fischer : Pour moi personnellement, et certainement pour tous les habitants de Grosswangen, c’est bien sûr un grand plaisir ! Nous sommes fiers et c’est un honneur pour nous que Stifi puisse participer aux Jeux olympiques au Japon. Nous croisons déjà les doigts pour lui !

Vous connaissez Stifi et le sport de la lutte depuis longtemps. Qu’est-ce qui distingue Stifi ?
Fischer : Bien que le fief de la lutte, Willisau, soit directement limitrophe de Grosswangen, je n’ai qu’une connaissance très rudimentaire de la lutte. Les réalisations et les succès de Stifi ont rapproché de nombreuses personnes, dont moi personnellement, de ce sport marginal. Je le connais depuis qu’il est enfant, c’est notre “garçon du voisinage”.
En tant que camarade de classe de mon fils, il venait souvent jouer avec nous. Stifi est persévérant, déterminé et a une bonne dose de confiance en lui. Il se caractérise par une extraordinaire volonté de performance et est prêt à travailler très dur pour atteindre ses objectifs, ce qui signifie souvent renoncer à de nombreux conforts et devoir prendre des coups. La lutte n’est pas une affaire de gros sous – les lutteurs sont juste des “herti Sieche”.

Que devrait faire la société ou une municipalité pour que nous voyions plus de Stifis à l’avenir ?
Fischer : De nombreuses conditions doivent être réunies. À mon avis, l’environnement personnel est déterminant. Un bon soutien et un soutien important de la part de la famille sont essentiels. S’il y a aussi un bon environnement avec des clubs forts et de bonnes infrastructures sportives, beaucoup de choses sont possibles.
La lutte est “encore” un sport marginal ici. Des athlètes modèles sans grands airs, comme Stifi, le rapprochent et contribuent largement à sa popularité croissante.

Amitiés de Grosswangen & Hopp Stifi – Beat Fischer
 

Autor: Falko Ismer-Werner